Bienvenue sur la page d'accueil dédiée
aux 50 ans de l'association Interfor !
Vous trouverez ici toutes les informations relatives à cet anniversaire, les évènements qui y sont liés, les temps forts, ainsi que des témoignages de nos anciens. Vous pouvez également vous inscrire à la Newsletter d'Interfor et à la Newsletter dédiée au 50 ans. Rejoignez aussi notre base de collecte de coordonnées des anciens apprenti.e.s d'Interfor. A l'issue, nous pourrons vous proposer une plateforme pour retrouver vos camarades de promotion, proposer des animations d'anciens, ou encore déposer des offres, parrainer des apprentis.
Inter'games est un concours dédié à la création d'entreprise qui a été lancé en avril 2022 auprès de nos apprentis et sortants de moins de 3 ans. Comme prévu, le jeudi 17 novembre dernier, les grands gagnants ont été dévoilés :
Nicolas Vacossin remporte donc deux chèques d'une valeur de 200 et 400€ financé par la Caisse d'Epargne des Hauts-de-France pour ces 2 prix.
Monia Beades et Perrine Belpaume, grandes gagnantes du concours, avec le prix du Grand Jury, remportent un accompagnement de la CCI "5 jours pour entreprendre" ainsi qu'un chèque de 600€ de la Caisse d'Epargne des Hauts-de-France.
Nous prendrons bientôt des nouvelles des 5 projets qui étaient en lice pour suivre leur avancement !
C'est aussi l'occasion de remercier les 4 coachs qui ont accompagné les équipes porteuses de projets :
Le film de la soirée est disponible ! Retour en images sur cette belle soirée des 50 ans de l'association Interfor.
Découvrez le portrait de Rachel Ancelin, gérante de la société Undercloud, création de contenus digitaux pour les réseaux sociaux.
Après son parcours en alternance, suite à un BTS MUC (Management des Unités Commerciales) puis un BAC+3 Responsable Développement Commercial, Rachel a continué son expérience professionnelle en tant que chargée de projets dans un magasin de vêtements et e-commerce avant de créer sa structure de création de portraits. Découvrez son parcours :
Passez par les rangs d'Interfor en alternance, Vincent nous raconte son parcours et son poste actuel chez Frulact, entreprise basée au Portugal.
Chose promise, chose due ! Nous vous avions promis d'organiser le premier Afterwork réseau des anciens, il aura lieu mercredi 29 mars 2023 !
Si vous êtes un.e ancien.ne apprenti.e d'Interfor n'hésitez pas à vous inscrire sur le lien ci-dessous, pour recevoir l'invitation.
Ce mois-ci, on vous emmène découvrir la boutique d'Amélie Boucher, gérante de "La P'tite Rebelle" en ville, située à Amiens.
Amélie a découvert l'alternance avec Interfor et cela à complétement fait basculer son parcours professionnel, elle qui s'était imaginée devenir professeur.
Amélie nous raconte son parcours, son évolution, jusqu'à l'ouverture de sa boutique.
Christophe évoque avec nous son parcours, de sa formation en cuisine chez Interfor en alternance, ses expériences passées jusqu'à son poste actuel au Moulin des Ecrevisses.
Vous les avez peut-être vu dans les rues d'Amiens et d'Abbeville, ou encore, entendus sur les ondes locales ?
Voici nos 6 ambassadeurs, tous et toutes anciens apprentis d'Interfor !
Qui sont-ils ?
Elyse LEROI, désormais formatrice indépendante
Vincent BURIEZ, Head of Business Development Europe, chez Frulact
Amélie BOUCHER, gérante du magasin La P'tite Rebelle à Amiens
Valentin DEMEY, co-gérant de VP COM, communication audiovisuelle
Rachel ANCELIN, gérante d'Undercloud, communication digitale
Christophe VOISIN, Chef cuisinier et Associé au restaurant Le moulin des écrevisses à Ailly-sur-Noye
Elyse a suivi un BTS Négociation et Relation Client puis une licence marketing : Responsable Opérationnel d'Unité chez Interfor.
Elyse est l'un des 6 ambassadeurs de notre campagne institutionnelle pour les 50 ans ! Découvrez son parcours !
Découvrez le Portrait de Perrine Chovaux, ancienne apprentie d'Interfor dans le cadre d'un BAC Professionnelle Accueil Clients Relations Usagers. Perrine, vous allez l'entendre, passionnée par son métier, nous raconte son parcours en alternance depuis Interfor.
Interfor fête ses 50 ans en 2022 ! C'est l'occasion idéale pour initier le réseau des anciens. Vous êtes intéressé.e pour en faire partie ou recevoir les informations de lancement et/ou les actualités à venir sur le réseau des anciens ?
Inscrivez-vous à notre liste de contacts :
Présentez-vous-en quelques mots…
Je suis Géraldine Beaurain, j’ai 45 ans, j’étais responsable Qualité Sécurité Environnement pendant une vingtaine d’années. Je vis actuellement dans l’Yonne, où je viens d’être diplômée pour devenir Coordinatrice SPS (Santé, Prévention, Sécurité). J’intègre la société Socotec.
Quand avez-vous intégré INTERFOR et pour quelle(s) formation(s) ?
Après mon Bac Sciences et Techniques de Laboratoire, mon projet était de m’orienter vers la qualité agro-alimentaire. J’ai donc étudié 3 ans dans le domaine du contrôle qualité dans l’agro-alimentaire sur Lille. J’ai d’abord rejoint l’institut Pasteur en tant que Préventicienne Hygiéniste. C’était une formation de 2 ans, au cours de laquelle j’ai dû réaliser beaucoup de stages pour connaitre toute la chaine alimentaire d’un produit, c’est-à-dire de sa pousse jusqu’à sa consommation. Ensuite, j’ai réalisé une année de spécialisation à l’ISA à Lille pour être technicien supérieur. Là, j’étudiais les normes, et toujours la qualité agro-alimentaire.
En 1999, j’ai découvert une annonce dans le journal pour aller visiter Interfor. Ce qui m’a plu dans les propositions c’était un diplôme qualifiant de niveau 2 en Qualité Hygiène Sécurité et Environnement. Ce qui m’intéressait surtout, c’était d’être en alternance. Mais trouver une entreprise dans le secteur agro-alimentaire n’était pas simple. Au final, je suis arrivée chez Stora Enso, entreprise qui fabrique du papier pour des magazines. Après mon alternance, j’ai été embauchée. Je suis restée donc presque 8 ans au sein du service hygiène sécurité environnement. J’avais pour missions la sensibilisation, l’accueil, la formation pour les nouveaux arrivants quels qu’ils soient. Nous avons constitué un logiciel d’accueil pour tout nouvel arrivant, adapté complètement au fonctionnement de l’entreprise qui réunissait 900 salariés.
J’ai aussi été en charge de la transmission et des normes de sécurité aux correspondants de l’entreprise : mise en place de référentiel, de normes, refonte des documents… analyse des risques, amélioration des conditions de travail, et gestion environnementale. Par la suite, un plan social m’a fait quitter la structure.
D’Interfor à aujourd’hui, quel a été votre parcours ?
Après cette expérience chez Stora Enso, je suis partie dans un autre secteur d’activité : le bâtiment et les travaux publics, chez Vinci Energies. Je suis devenue responsable Qualité Sécurité et Environnement. J’y ai découvert le management, j’avais 2 personnes à gérer. Cela a été aussi une belle expérience pendant 2 ans.
J’ai été débauchée pour quitter la région et je suis partie en Haute-Savoie pour prendre un poste de responsable Qualité dans une entreprise papetière, Bolloré Thin Paper, au bord du lac Léman. C’était une entreprise de 260 salariés, avec des machines tournantes donc à risque. Mes missions étaient d’améliorer les conditions de travail, faire beaucoup de prévention, accueillir les nouveaux arrivants. J’y suis restée 8 ans.
J’ai vécu un autre plan social, c’est ainsi que je suis arrivée dans l’Yonne où j’ai rejoint une entreprise de logistique, FM Logistique, située au nord de Paris. L’entreprise existait en France et à l’international, mais un nouveau site entrepôt sortait de terre, et il fallait tout faire : systèmes de management, sécurité, environnement… J’ai dû intégrer le contrôle qualité aussi à cette partie prévention sécurité. J’y suis restée 2 ans et demi, et j’ai quitté la logistique pour rejoindre un autre groupe dont l’activité est orientée vers la santé et le médical : Saint Gobain. L’entreprise fabrique notamment des tubes en caoutchouc résine et platine, pour le milieu médical. Quand il y a eu le Covid, nous avons dû fabriquer des petites valves pour les respirateurs artificiels. Je suis restée 3 ans chez Saint Gobain, et je suis partie. Je voulais faire autre chose que l’industrie.
Je me suis accordée une période de « off » pendant 6 mois. J’ai pris du temps pour moi, jusqu’à début 2022 où j’ai trouvé la formation que je viens de terminer, Coordinatrice SPS (Santé, Prévention, Sécurité). J’intègre la société Socotec prochainement.
Quel souvenir gardez-vous de vos années d’étude chez INTERFOR ?
Au niveau professionnel, je me souviens d’un exercice que nous avions fait sur plusieurs jours. Un organisme Canadien était venu à l’école pour que nous fassions un projet. Le but était de faire vivre une entreprise ; nous avions constitué des équipes, et chacun avait un rôle. A chaque fin de journée nous devions fournir nos données de productivité, de salariés, de coûts, et le lendemain matin nous devions vérifier si l’entreprise était gagnante ou déficitaire, ou avait une problématique à gérer. C’était super formateur !
Notre promotion était un groupe très soudé car nous venions d’horizons très différents. Interfor nous a soudé. Depuis 2001, nous sommes tous plus ou moins restés en contact. Nous avons décidé chaque année de se retrouver durant le weekend de l’Ascension. On a appelé ça le weekend « Inter’Fourien » et on l’attend tous les ans avec impatience ! On loue un gîte, en essayant de centraliser géographiquement, et on se retrouve tous pour partager un moment convivial. Ça a démarré quand je suis partie en Haute-Savoie. La première année, j’avais proposé qu’on se retrouve le weekend de l’Ascension. Depuis, c’est resté. On a même une petite mascotte qui est un extincteur ! Celui qui est en charge de l’évènement écrit sur l’extincteur ce qu’il a fait, la date et le lieu. On est une quinzaine, une dizaine pour le gros noyau.
Quels conseils donneriez-vous aux étudiants d’INTERFOR ?
De tenter l’expérience de l’alternance, ça ouvre plein d’opportunités, on a déjà un pied dans l’entreprise, on peut avoir de belles opportunités d’embauche.
Faire preuve de persévérance. Être soi-même, garder de l’optimisme, avoir de la rigueur… Et surtout, tirer profit de chaque expérience, car tout est enrichissant. Il faut pousser des portes, y aller !
Vous souhaitez partager votre parcours ? N'hésitez pas à nous contacter par mail : accueil@interfor-sia.com
Florian était apprenti chez Interfor entre 2012 et 2014. Son parcours ? Après une formation technique jusqu'en licence, il intègre Interfor en formation Responsable QSE.
Après Interfor, il est parti sur Paris faire une formation spécifique sur les projets innovants avec une idée d'entreprenariat en tête. En 2019, il créé K-Lamar. Son histoire :
Vous souhaitez partager votre parcours ? N'hésitez pas à nous contacter par mail : accueil@interfor-sia.com
Présentez-vous-en quelques mots…
Clément Renaudet, 39 ans, j’habite Muttersholtz, en Alsace, une commune de 2000 habitants très engagée sur le climat et la biodiversité. Elle a été capitale de la biodiversité en 2017.
Je travaille à Paris, en tant que Responsable climat et biodiversité, au sein de la Maison Guerlain. Originaire du Poitou-Charentes, j’ai grandi avec une mère travaillant au ministère de l’environnement, à la direction des parcs naturels régionaux, et un père agriculteur céréalier. J'ai donc pu observer à la fois les actions en matière de préservation de l'environnement et les pratiques d'une agriculture « intensive ».
Quand avez-vous intégré INTERFOR et pour quelle(s) formation(s) ?
J’ai obtenu un Bac Scientifique puis un DUT HSE Hygiène Sécurité Environnement. Après ce DUT je souhaitais entrer dans le monde du travail. J’ai trouvé la formation de Responsable Qualité Sécurité Environnement chez Interfor qui ouvrait à Poitiers, la première « unité déportée » d’Amiens. Elle était mise en place en collaboration avec la CCI de Poitiers, la maison de la formation. Il y avait une forte attente de la part d’Interfor, de la CCI, ainsi que des entreprises de la région afin de pouvoir disposer de ressources dédiées à ces sujets. Aujourd’hui, cette formation s’appelle manager des risques.
J'ai donc réalisé une alternance de deux ans dans la société Itron basée à proximité du Futuroscope à Chasseneuil du Poitou. Itron conçoit et fabrique des équipements de mesure et de comptage de l'énergie. Après ces deux années, j'ai eu l'opportunité de transformer cette période d'alternance en CDI. J’y suis resté 9 ans au total. J’avais comme responsabilité la qualité, la sécurité et l’environnement. J’animais toute la démarche de certification (notamment des normes ISO 9001, 14001, 45001), afin par exemple de réduire les risques et diminuer nos impacts environnementaux.
D’Interfor à aujourd’hui, quel a été votre parcours ?
En parallèle de mon métier, je me suis également impliqué dans un réseau d’entreprises sur les thématiques environnementales. Plusieurs réunions étaient organisées dans l’année, pour évoquer des problématiques communes, sous forme de groupes de travail. Ce réseau permettait également de mettre en relation les adhérents pour réaliser des audits croisés ce qui m'a permis de découvrir d'autres secteurs d'activité, d'élargir mon champ de vision et identifier de nombreuses bonnes pratiques.
Dans le même temps, j’ai pu passer mes diplômes d’auditeur tierce partie (formations avec examen qualifiant). A 30 ans, j’ai été recruté par Bureau Veritas, un organisme de certification, en tant qu'auditeur en systèmes de management. J’y suis resté durant 6 ans. J’ai parcouru la France et le monde pour auditer des entreprises diverses et variées dans de nombreux domaines : électronique, transport et logistique, aéronautique, BTP, traitement des déchets, traitement de l'eau, automobile, maintenance, services etc...
Cela allait de la petite PME à la multinationale comme une compagnie aérienne. J’ai audité entre 250 et 300 entreprises différentes. Je pouvais rester parfois plusieurs semaines dans l’entreprise en fonction de sa structure et de son organisation géographique, et en termes de rencontres humaines, c’est très enrichissant !
Fin 2018, j'ai eu la chance de pouvoir auditer la Maison Guerlain sur ses engagements Développement Durable au travers de la norme ISO 14001. J'ai eu un vrai coup de cœur pour la Maison, son histoire et surtout son engagement Développement Durable "Au Nom de la Beauté" initié il y a maintenant 15 ans. Après cet audit la Directrice du Développement Durable m'a informé qu'elle recrutait un poste de chef de projet et j'ai donc pu intégrer la Maison en avril 2019 avec pour missions le déploiement de la certification ISO 14001 sur l'ensemble du périmètre Guerlain (Siège, sites de production, boutiques et filiales internationales) mais également la définition de notre stratégie Climat de réduction de nos émissions de gaz à effet de serre en cohérence avec les accords de Paris.
(ndlr : la certification ISO 14001 définit les critères d'un système de management environnemental)
Début 2022 j'ai évolué sur le poste de Responsable Climat et Biodiversité me permettant d'élargir mon champ d’action. Ces deux enjeux sont très corrélés notamment par les liens de cause à effet que nous pouvons déjà observer. Nous travaillons donc main dans la main avec nos producteurs de matières premières naturelles utilisées dans la formulation de nos parfums et de nos produits cosmétiques. Ces sujets me permettent de collaborer avec l'ensemble des parties prenantes de la Maison : marketing, R&D, achats, sites de production (100% en France), parfumeurs... Mes missions me permettent également de toucher a des sujets qui me tiennent à cœur comme celui de l'abeille. Depuis qu’elle s’est posée sur notre iconique Flacon aux Abeilles en 1853 à l’occasion du mariage de l’Impératrice Eugénie avec l’Empereur Napoléon III, l’Abeille n’a eu de cesse de nous inspirer. Elle est devenue un guide pour l’engagement durable de la Maison et nous lui dédions aujourd'hui 9 partenariats.
Quel souvenir gardez-vous de vos années d’étude chez INTERFOR ?
J'ai le souvenir d'une promotion très soudée et professionnelle. Nous étions le "premier cru" de cette formation sur Poitiers, il y avait beaucoup d'attentes et le fait de n'être que 15 et de travailler sur des projets communs resserre les liens. La sélection avait été très bien réalisée par l'équipe Interfor.
Aujourd'hui je suis toujours en contact avec la plupart de mes collègues de l'époque, soit par un lien amical soit via les réseaux sociaux professionnels.
Quels conseils donneriez-vous aux étudiants d’INTERFOR ?
D'être passionnés par les sujets qu'ils ont à étudier ou à mettre en place dans leurs entreprises. Se documenter, aller chercher un maximum d'informations pour aller au fond de ces sujets, cela est d'autant plus vrai sur les enjeux climatiques ou de biodiversité qui sont souvent très techniques et pour lesquels ils peuvent être confrontés à beaucoup d'idées reçues. Cela permet également de convaincre et d’accélérer les actions.
A cela je rajouterais qu'ils ne doivent pas se mettre de barrières, qu'ils osent proposer et remettre en cause les principes établis.
Vous souhaitez partager votre parcours ? N'hésitez pas à nous contacter par mail : accueil@interfor-sia.com
Johannie était apprentie chez Interfor entre 2009 et 2014. Son parcours ? Un bac professionnel secrétariat puis un BTS avant d'effectuer une licence sur Paris.
Après 7 ans de salariat, Johannie est désormais Assistante administrative indépendante. Découvrez son parcours !
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A l'occasion de cette année anniversaire, Interfor lance le concours Inter'games !
De quoi s'agit-il ?
Ce concours a pour objectif d'accompagner des candidats dans le développement d'un projet. Que ce soit, une création d'entreprise, d'un concept, d'une recette, d'une innovation, d'un prototype, une appli, un service.... Pas de limite !
Pour qui ?
Cette édition 2022 est ouverte aux apprentis actuellement en formation chez Interfor, mais également à ceux ayant quitté Interfor en 2021 et 2020.
Les groupes présentés sont constitués à minima de 2 personnes et 6 personnes maximum.
1 seule personne peut être issue d'Interfor et se présenter avec les personnes de son choix, extérieurs à la structure (parents, amis, tuteurs entreprises, collègues, ...)
Le déroulement
Plusieurs phases se dérouleront au cours de l'année :
du 14/04/2022 au 01/07/2022 : Inscriptions
02/07/2022 au 02/09/2022 : Pré-sélection des dossiers
Mi-septembre : première battle éliminatoire
Mi-octobre : seconde battle éliminatoire
Jeudi 17 novembre 2022 : Annonce des gagnants lors de la cérémonie des 50 ans.
Dès la première battle, une équipe de coachs vous accompagne pour booster votre projet et le mené le plus loin possible dans le concours.
Les gagnants
3 prix seront décernés :
- Prix du Grand Jury
- Prix de l'assemblée
- Prix du public
A gagner : un accompagnement pour concrétiser et aller au bout de votre projet. et d'autres lots de nos partenaires
Voici une vidéo de présentation du concours :
Intéressé.e ?
Pour vous inscrire, remplissez le formulaire ici :
Le règlement détaillé est épinglé dans le formulaire d'inscription. Clôture des inscriptions le 1er juillet 2022.
Des questions ?
Ecrivez-nous sur : evenement@interfor-sia.com
Après un BTS Services informatiques aux Organisation, Gauthier a travaillé plusieurs années dans le développement informatique dans la région d'Amiens puis sur Paris. Il a ensuite opéré une reconversion professionnelle à 180° pour devenir... brasseur de bières. Découvrez son parcours dans la vidéo ci-dessous :
Vous souhaitez partager votre parcours ? N'hésitez pas à nous contacter par mail : accueil@interfor-sia.com
Présentez-vous-en quelques mots…
Je suis Tony Wignoble, j’ai 44 ans, et je suis Superviseur Qualité Opérationnel à la Société Générale, depuis septembre 2017. J’ai 22 ans d’ancienneté dans cette entreprise.
Quand avez-vous intégré INTERFOR et pour quelle(s) formation(s) ?
Après mon BTS force de vente en lycée général, en juillet 1998, je pensais trouver du travail de suite. Mais j’ai cumulé un an de galères, à enchainer les petits boulots, comme balayeur, dans le bâtiment… Je ne voyais pas de débouchées, on me reprochait de ne pas avoir assez d’expérience. Je suis alors tombé sur une chose, que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaitre (rires) : une petite annonce dans le journal « La Voix du Nord » ! Pour résumer, cela annonçait « Interfor recrute des conseillers financiers et conseillers postaux en alternance pour le groupe La Poste ».
J’ai envoyé ma candidature, passé des entretiens. Je n’étais pas forcément attiré par ce domaine-là… J’ai vu de la lumière, je suis entré. Et cela a été une révélation. J’ai donc intégré Interfor en Septembre 1999, pour une alternance un an. J’étais Apprenti Conseiller Financier, auprès de La Banque Postale.
D'Interfor à aujourd'hui, quel a été votre parcours ?
Après mon année de formation, j’ai loupé mon examen final, l’oral notamment. J’avais de bons résultats à l’écrit, mais je n’ai pas respecté les méthodes de vente de La Banque Postale à l’oral… J’étais un peu un électro-libre. Fin Septembre 2000, je n’ai donc pas été gardé à La Banque Postale.
J’ai postulé un peu partout, et comme j’avais eu malgré tout une expérience d’un an en tant que conseiller financier, 3 établissements bancaires m’ont retenu. J’ai eu la chance d’avoir le choix, et j’ai été embauché en Décembre 2000 à la Société Générale, en tant que Conseiller Bancaire Grand Public. J’ai fait 3 ans sur ce poste, sur Dunkerque. Je suis ensuite revenu sur Armentières où j’ai fait 4 ans comme Conseiller Bonne Gamme. Puis de 2007 à 2010, j’ai été Directeur Adjoint à l’agence de Ronchin. De 2010 à 2013, je suis passé Directeur d’Agence à Estaires.
Durant cette période-là, en 2010, j’ai voulu reprendre mes études, en alternance, pour avoir un niveau équivalent Cadre. C’était un diplôme interne à la Société Générale, via un organisme de formation et aussi via l’EDHEC à Paris La Défense. Ce n’était pas aussi « simple » que l’alternance dans ma jeunesse, j’étais père de famille, directeur d’agence, j’allais à Paris une semaine sur 2… C’était très compliqué, mais j’ai obtenu mon diplôme.
En 2013, je suis devenu Conseiller Professionnel à Lille, où je me suis occupé de toutes les professions libérales (avocats, dentistes, notaires…). Puis en 2015, on m’a confié le poste de Superviseur des Risques de contrepartie. Je surveillais et analysais les engagements des clients.
En 2017, suite aux divers attentats survenus en France, une nouvelle cellule a été créée au sein de la Société Générale : la Cellule Qualité Opérationnelle. Je suis depuis devenu Superviseur Qualité Opérationnelle (SQO). J’assure la conformité des opérations bancaires. La gestion et le suivi de la lutte contre la fraude, et le traitement des alertes de la Lutte Anti-Blanchiment et Financement du Terrorisme (LAB/FT). Mon responsable a eu un grave accident en 2019, j’ai été responsable pendant un an de cette cellule, jusque Mai 2020.
La prochaine évolution possible, si tout va bien, serait d’être Responsable du service. Mais cela ne dépend plus de moi…
Quel souvenir gardez-vous de vos années d’étude chez INTERFOR ?
C’est une époque que j’ai adoré, j’étais très nostalgique de cette période. Je me suis lié d’amitié avec certains alternants. J’ai gardé contact avec un pote d’école de l’alternance. Ce n’est que du positif d’un point de vue privé.
De même pour le côté professionnel. Je garde le souvenir d’une très bonne qualité des intervenants. Un ou deux notamment m’ont marqué, m’ont fait grandir. Un des intervenants m’a donné espoir, et confiance. Après un an et demi de galères et petits boulots, les professeurs d’Interfor m’ont redonné énormément confiance en moi. Je noterais la qualité des cours, mais aussi le réel soutien moral. L’accompagnement était très fort. Le midi avec certains profs, on mangeait ensemble à la cafète du coin, on jouait au flippeur… Nous étions super bien accompagnés, ils nous racontaient leurs expériences professionnelles à table, partageaient des anecdotes ou problématiques professionnelles.
Quels conseils donneriez-vous aux étudiants d’INTERFOR ?
Foncer dans l’alternance ! C’est ce qui m’a permis de trouver ma voie, je suis rentré sur un « malentendu » et ça a marché. Il faut foncer, y aller, vivre l’expérience à fond. Avec l’alternance, on acquière l’expérience d’un métier. De plus, on s’apporte énormément l’un envers l’autre, entre l’entreprise et l’alternant. En tant qu’étudiant, on apporte de la fraicheur, des nouvelles technologies, des nouvelles manières de voir et fonctionner…
Aujourd’hui, j’essaie de rendre la pareille. Je prends 3 ou 4 alternants par an dans mon service. C’est ma manière à moi de remercier Interfor. Les apprentis m’apportent énormément. Ils arrivent avec une nouvelle fraicheur, une nouvelle façon de voir. Je suis à 200% pour l’alternance !
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Damien Poilly est passé par les rangs d'Interfor entre 2015 et 2020, dans le cadre d'un CAP Cuisine puis d'un BP. L'aventure de l'apprentissage ne s'est pas arrêtée chez Interfor pour Damien, qui a continué de se former dans des établissements prestigieux. Aujourd'hui, il est cuisine au restaurant gastronomique "La Table de Pavie" à Saint-Emilion, près de Bordeaux. Restaurant de Yannick Alléno, triplement étoilé au guide Michelin. Damien évoque avec nous son parcours chez Interfor et depuis.
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Présentez-vous-en quelques mots…
Valérie Col, manager de transition en projet Supply Chain, j’accompagne les entreprises à optimiser leur chaine de valeur, principalement en logistique industrielle.
J’ai été salariée jusqu’en décembre 2018, puis en 2019 j’ai créé mon activité de conseil : S3COPE (Supply Chain, Accompagnement du Changement & Excellence Opérationnelle) en structure auto-entrepreneur.
Quand avez-vous intégré INTERFOR et pour quelle(s) formation(s) ?
En 1999 : je quitte Amiens. Plastic Omnium me propose un poste de responsable logistique à Langres dans la Haute Marne. J’ai eu en charge un gros projet de refonte de tous les flux de l’usine suite au démarrage d’un nouveau véhicule (la Peugeot 307) sur le site de Langres. Nous avions la contrainte de ne pas augmenter la surface, donc il fallait revisiter et optimiser les flux. Une autre contrainte était que nous passions d’un gerbage sur 5 hauteurs au stockage à plat Il fallait donc de réduire le stock, fabriquer les bonnes pièces au bon moment, mettre en place la fonction logistique dans les unités autonomes de production. Il fallait optimiser le Lead Time (ndlr temps de défilement, c’est-à-dire, le délai total entre le moment où la matière première est réceptionnée et le moment où le produit fini est expédié chez le client ici les pare-chocs). A l’époque, il se passait 20 jours entre le moment où les granulés de matière entraient dans les silos, et le moment où le pare-chocs sortait fini. Alors qu’il faut 1h seulement pour transformer ce produit. L’objectif était donc de réduire ce Lead Time à 10 jours, ce qui a été réalisé grâce à ce projet de
En 2001, on m’a demandé de rejoindre le siège de Plastic Omnium. J’ai intégré l’équipe projet de mise en place de l’ERP (ndlr Enterprise Ressource Planning, c’est-à-dire logiciel qui permet de planifier les ressources de l’entreprise à tous les niveaux). Ma mission consistait à définir le corps model, c’est à dire toutes les règles de gestion qui seront mises en place dans le domaine de la Supply Chain : la partie commande client, les flux internes, l’approvisionnement, la planification.
Puis j’ai beaucoup voyagé. J’ai accompagné l’équipe projet pour le démarrage de l’ERP sur un site en Angleterre, puis j’ai été nommée pour mettre en place le progiciel sur tous les sites Français. J’étais alors Business Process Owner Supply Chain et chargée de l’accompagnement du changement sur les sites en France, pour harmoniser les processus sur toutes ses usines.
En 2004, je rejoins la Direction Industrielle en région Lyonnaise, toujours en tant que Business Process Owner, pour mettre en place le progiciel aux Etats-Unis, au Mexique et en Slovaquie. A l’issue du déploiement de l’ERP, on me propose un poste de responsable planification stratégique (S&OP), que j’ai refusé. Je ne voulais pas être cantonnée derrière un bureau, j’aimais trop le terrain. Je quitte donc Plastic Omnium après 15 ans de collaboration.
En 2006, je rejoins FM Logistic (dans l’Oise) qui fait de l’entreposage et de la préparation de commande principalement pour l’alimentaire, la cosmétique. De Lyon je suis remontée dans l’Oise. J’ai été embauchée en qualité de responsable de l’amélioration continue pour la France. FM recrutait à cette époque des personnes issues de l ’automobile pour s’améliorer en industrialisation des process.
J’ai mis en place une roadmap de mise en place des outils d’amélioration, puis, faute de sponsor (indispensable pour une telle démarche), j’ai participé à la mise en place du système de management de la qualité dans le cadre d’une certification Groupe.
Fin 2009, je suis contactée par une ancienne collègue de Plastic Omnium, qui travaillait chez Areva T&D. Ils cherchaient un Business Process Owner pour mettre en place un Core model (les règles de gestion sur toute la partie Supply Chain). Areva T&D, devenu Alstom Grid conçoit et fabrique des solutions pour des stations électriques J’ai voyagé en Inde, aux USA, au Brésil, en Chine, en Allemagne et en Italie pour mettre en place ce corps model aussi, toujours avec des équipes. Comme je venais du terrain, je passais bien, je n'étais pas trop considérée comme une consultante.
Comme les résultats n’étaient pas là, la Direction Financière nous a demandé de faire des audits de l’ERP afin de vérifier son utilisation. Nous avons donc créé, mon binôme financier et moi, un référentiel d’audit, puis l’avons digitalisé lors du rachat d’Alstom Grid par GE en 2016.
A l’issue du déploiement de l’ERP, deux projets me sont confiés : la réduction de l’obsolescence et la mise en place d’un processus de planification stratégique. J’ai géré le projet de mars 2017 à fin 2018. Je quitte GE pour les mêmes raisons que Plastic Omnium 12 ans auparavant : le prise en charge du poste de planification stratégique (S&OP)
Là je n’avais pas de Plan B. En Mars 2019, je décide donc de suivre une formation à la création et reprise d’une entreprise sur 2 mois à Compiègne avec le BGE.
J’avais envie de créer une entreprise dans le domaine du bien-être. Le fait de faire l’analyse financière jusqu’au bout m’a permis de me rendre compte que le projet n’était pas viable. Une autre solution était de créer une entreprise dans le conseil ; ce que j’ai réalisé en créant S3COPE Conseil en tant qu’auto-entrepreneur.
La crise sanitaire étant passée par là, les missions en tant qu’indépendant se sont raréfiée, et j’ai finalement postulée pour une poste de Chef de projet Logistique en CDD en Décembre 2020 pour la société BRICARD, fabricant de systèmes de sécurité pour les logements, située dans le Vimeux. Mon rôle principal est l’accompagnement du changement et le coaching des équipes opérationnelles. Pour ce faire, nous revisitons les process, nous les améliorons et mesurons la performance (taux de service, stocks Je suis également en charge du reporting mensuel et de l’animation du processus de planification stratégique (S&OP).
Je démarre une nouvelle mission de 3 ans début Avril pour Agora, une coopérative agricole basée dans l’Oise L’objectif de la mission sera de piloter la définition et la mise en place des processus cibles dans les différentes unités. Cela représente une cinquantaine de sites.
En parallèle ; j’ai un autre projet de vie : en mars 2020, pendant le premier confinement, mon ami et moi décidons de créer en commun une entreprise dans le domaine du tourisme éco-responsable, pour des petits groupes : Australeva. Nous proposerons des séjours sur-mesure en Afrique Australe et Océanie. Je projette de quitter la France et de m’installer dans l’hémisphère Sud.
Quel souvenir gardez-vous de vos années d’étude chez INTERFOR ?
Je garde le souvenir d’un professeur, avec qui nous avions abordé la notion de prise de décision. Il nous disait que ce qui était important, c’était de se poser. Il nous donnait l’ exemple du cow-boys dans les Western : un personnage sûr de lui, qui roule des mécaniques... Mais, avant de tirer dans son duel, il se pose, bois son whisky, réfléchit… Cela peut faire sourire de prime abord, mais dans notre vie de tous les jours, dans notre rôle de manager, il est important de poser le problème, d’analyser, et pour finir agir. Cet exemple me fait écho souvent. C’est ce dont je me sers tous les jours dans la vie.
Quels conseils donneriez-vous aux étudiants d’INTERFOR ?
Je pense qu’il est important de passer par l’opérationnel, parce qu’on y apprend beaucoup, il faut mouiller la chemise. Le terrain c’est hyper important.
Aussi, je dirais suivez votre intuition, elle connait le chemin. Saisissez les opportunités. Elles sont là, il suffit de les saisir. Personnellement, on ne peut pas me dire « tu as de la chance », parce que j’ai saisi les opportunités. Et choisir, c’est renoncer. J’ai choisi cette carrière, et j’ai renoncé à une vie de famille.
Il y a des opportunités dans la vie qu’il faut saisir, et des évènements dans la vie qu’il faut écouter. On a souvent peur de l’inconnu parce qu’on ne sait pas ce qu’il y a derrière. On sait ce qu’il y a avant mais pas après. Mais ce qu’il y a après c’est peut-être mieux.
Enfin, je leur dirai de ne pas partir avec des idées préconçues. Il faut réfléchir, poser les choses, poser le problème avant de vouloir trouver la solution.
Vous souhaitez partager votre parcours ? N'hésitez pas à nous contacter par mail : accueil@interfor-sia.com
Comme le dit la chanson, c'est "cette année là" que tout commence pour Interfor. Sa génèse est issue de la réforme de Juillet 1971, qui amène un grand changement pour les salariés. Désormais, le temps de formation du salarié se fait sur le temps de travail, et plus en dehors. C'est ainsi que l'Association SIA (Société Industrielle Amiénoise), à l'époque grande association reconnue et ancrée sur le territoire puisqu'elle regroupe tous les grands membres de l'industrie textile : Saint-Frères, Cosserat... décide de créer une structure pour aller plus loin, en formant les salariés mais aussi les plus jeunes.
La CCI joue un rôle primordial et prépondérant dans ce développement, notamment son Président de l'époque Francis HUGLO et le secrétaire général Jean-Pierre GUEULLE. Plus largement, au niveau national, les CCI ouvrent les CFA à travers la France. Interfor SIA, initialement prévu pour ne former et diplômer que du CAP, se développe et ouvrira ensuite les premiers BAC PROFESSIONNELS en alternance dans les années 80.
Présentez-vous-en quelques mots…
Ludovic Le Cointe, 49 ans, responsable du magasin Biocoop Amiens Gambetta depuis deux ans et demi.
Quand avez-vous intégré INTERFOR et pour quelle(s) formation(s) ?
Je suis arrivé chez Interfor tout jeune, à l’âge de 16 ans. J’ai commencé par un CAP vente en 2 ans, puis un BEP vente en un an, suivi d’un BAC en 2 ans. J’ai terminé par un BTS Action Commerciale, toujours chez Interfor !
J’ai obtenu mes diplômes en alternance. J’étais apprenti vendeur chez CDV Peinture à Amiens (fermé aujourd’hui – ndlr). J’ai ensuite été responsable de rayon dans le secteur automobile, puis commercial sur la côte Picarde, dans le milieu de la carrosserie.
Après cela, j’ai fait mon BTS en alternance aux Halles d’Amiens. J’étais embauché à la Corbeille Paysanne, qui est un regroupement de producteurs locaux. Je suis ensuite parti faire mon service militaire pendant 17 mois en Martinique.
D’Interfor à aujourd’hui, quel a été votre parcours ?
Lorsque je suis rentré en Métropole après mon service militaire, j’ai postulé à La Corbeille Paysanne, ils recherchaient un vendeur. J’ai d’abord été embauché comme vendeur, puis j’ai eu en charge le développement du rayon fruits et légumes, et viande découpée, puis préparée. Nous étions 3 salariés, nous sommes passés à 8, puis 12 pendant les fêtes de fin d’année. J’ai été responsable du magasin pendant 16 ans, puis gérant-salarié pendant 9 ans, jusqu’à 2019.
Mi-2019, j’ai postulé chez Biocoop à Glisy, où j’ai été pris en tant qu’Adjoint à la Direction. Peu de temps après le magasin d’Amiens Centre a ouvert, j’y suis allé pour être responsable de magasin, et responsable du rayon fruits et légumes. Nous sommes une équipe de 14 salariés, et je m’y plais beaucoup.
Avec mes parents, nous habitions une ancienne ferme restaurée. On fabriquait tout nous-même : nous avions de l’élevage, une partie culture, transformation. J’ai grandi en mangeant les plats mijotés de ma maman. Je pense que c’est de là que me vient cette passion pour les produits alimentaires qui sortent de terre. J’aime le producteur, j’aime pouvoir le valoriser.
Quel souvenir gardez-vous de vos années d’étude chez INTERFOR ?
Je garde de très bons souvenirs d’Interfor. Les enseignants étaient jeunes à l’époque, mais je me souviens y avoir été bien accueilli, encadré. Ils étaient là pour nous apporter des solutions, sur nos problèmes en cours ou en entreprise. Il y avait un réel échange, à tel point que par exemple, pendant mes années BAC, nous allions parfois boire un verre avec les profs après les cours ! On finissait les cours sur un coin de table, ils prenaient le temps de nous réexpliquer des choses, c’était amical, mais il y avait toujours le respect. Parfois avec des camarades de classe, on allait finir nos dossiers sur place, en dehors des heures d’ouverture de l’école. On avait les clés, le code de l’alarme. On allait travailler, tout en respectant les lieux. C’était donnant-donnant.
Quels conseils donneriez-vous aux étudiants d’INTERFOR ?
Je dirais qu’il faut qu’ils se tiennent prêts à toute initiative, être prêts à se retrouver dans la difficulté, pour savoir affronter les choses, savoir se mettre des challenges.
Aussi qu’il ne faut pas hésiter à s’ouvrir aux autres, ne prendre que les ondes positives, et toujours avoir la valeur du respect : des enseignants, des autres élèves, et de soi-même.
Merci à Ludovic de partager avec nous son expérience et son parcours depuis son passage chez Interfor.
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Valentin Demey est le co-fondateur de la société VP Com, spécialisée dans la communication audiovisuelle sur les réseaux sociaux, la création de contenus, les clips musicaux et les évènementiels. A l'occasion des 50 ans d'Interfor, il retrace pour nous son parcours au sein de notre centre de formation, par lequel il est passé entre 2011 et 2016. Il évoque aussi avec nous, le chemin parcouru depuis, jusqu'à sa création d'entreprise.
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Dans le cadre des 50 ans d'Interfor, un concours va s'ouvrir courant avril, à destination de nos apprentis et jeunes diplômés. Qu'ils souhaitent se lancer seul, en duo, en famille, entre collègues ou avec leur tuteur entreprise, le concours leur permettra de présenter un projet entrepreuneurial ou innovant. Tout au long du concours, les équipes/candidats au concours, seront accompagné par des mentors/coach, dans l'esprit de l'émission THE VOICE.
On vous en parle bientôt !
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50 ans d'existence, 50 ans d'histoire, 50 ans de parcours, 50 ans de formation professionnelle. Cela en fait des apprentis qui sont passés dans nos rangs ! Interfor souhaite lancer en fin d'année 2022, une plateforme dédiée aux anciens d'Interfor. La première étape : votre recensement ! N'hésitez pas à vous inscrire à notre collecte de base de données pour recevoir l'invitation lors du lancement de notre plateforme. Parlez aussi de cette page à vos anciens camarades de promotion pour les inviter à nous suivre !
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